Bien qu’il soit difficile de mesurer avec exactitude l’impact d’une recherche web sur l’environnement, son empreinte écologique est bien réelle. Selon un porte-parole de Google cité par Quartz, l’utilisation des services de Google pendant un mois équivaudrait à parcourir 1,6 kilomètre en voiture en termes d’émission de gaz à effet de serre. Notons tout de même que plusieurs études avancent des chiffres plus élevés.
Soyons moins paresseux!
Cela dit, en tant qu’utilisateurs avertis des moteurs de recherche (si, si!) nous pouvons facilement diminuer cet impact. Notamment, parce que l’une des sources de cet empreinte écologique serait davantage liée à notre paresse naturelle qu’au fonctionnement du moteur de recherche. Ainsi, lorsque nous lançons une recherche sur le web pour trouver un site que l’on connaît bien (et soyons honnêtes, nous le faisons tous!), nous polluons davantage que si nous écrivions l’adresse du site directement dans la barre prévue à cet effet.
Ainsi, de petites astuces simples, proposées notamment par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) permettent de diminuer l’empreinte écologique de notre usage du web, et ce, presque sans effort!
6 astuces pour naviguer « vert »
Le suspense étant désormais à son comble, voici sans plus attendre les 6 astuces pour naviguer sur le web sans (trop) polluer:
- Tapez directement l’adresse d’un site.
- Utilisez l’historique de vos consultations.
- Créez des favoris dans votre navigateur.
- Utilisez des mots-clés précis et ciblez votre demande.
- Utilisez des navigateurs qui consomment moins d’énergie, comme Internet Explorer, Firefox.
- Utilisez des moteurs de recherche qui s’engagent pour l’environnement, comme Ecosia.
- Limitez le fonctionnement des animations flash.
Et si vous trouvez que tout ceci est encore bien trop facile, l’ADEME propose un guide pratique pour aller plus loin et reverdir encore davantage votre usage du web!